Mercredi 25 juin
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22:21
Elle est là ! Oui ! Quoi ?
Ma nouvelle "La Scribe", publiée par les bons soins de La Musardine, avec la participation de Dorcelle et de Terrafemina !
En p.139, sous vos yeux ébahis, s'étalera l'expérience d'une jeune fille ayant accepté de devenir "la Scribe", la reporter journalistique des ébats d'un couple d'amis ; restera t-elle sagement à
sa place ? se demandera t-elle longtemps ce qu'elle fout là ? Qu'attendez-vous pour vous procurer cette merveille ?
Autant de questions dont les réponses commencent à se révèler ci-dessous :
Par Stuc Régences
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Vendredi 2 mai
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/Mai
17:13
Elle n'en croyait pas son fondement. Ce piston, derrière elle, s'activait sans douceur, forait toujours plus loin, écartant l’œilleton entre ses deux joufflues. La sueur, gouttes à
gouttes, perlait. Une telle chute de reins... Le membre s'enfonçait, elle respirait trop fort et voyait des étoiles. Elle n'aurait jamais cru que ce serait si bon, de se laisser creuser. Alors,
pourtant entravée, elle remuait son bassin pour que la pénétration soit plus profonde encore, et lui, mineur de fond, la tenait aux épaules. Pourvu que ce soit toujours aussi fort. Elle
touchait du bois, dans cette cave à l'abri des regards, regardant son pilori neuf comme le plus beau des cadeaux d'anniversaire.
Mardi 29 octobre 2013
Par Stuc Régences
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Vendredi 2 mai
5
02
/05
/Mai
17:03
Mathilde, les yeux
brillants, sa robe légère retroussée autour de la taille, tournait autour de nous en poussant des gloussements de plaisir et en répétant :
- Comme il est beau ! C'est que tu es très douée, Agnès. Regarde comme il bande ! Je ne peux plus y tenir, va t'en un instant, va quitter ton pantalon toi aussi
pour que Boniface puisse te branler, je vais m'occuper de lui.
Et me voici toute honte bue, délaaçant presque calmement mon pantalon sous les yeux d'un homme, le faisant glisser le long de mes jambes, relevant moi aussi mes
jupes dans ma ceinture pour m'avancer vers eux aussi gravement, j'imagine, que ma trisaïeule la marquise de S. vers Louis XV le Bien-Aimé, un soir de petit souper. J'aimerais que Mathilde me
regarde mais elle est occupée ailleurs : je la vois se pencher vers Boniface, donner de-ci, de-là quelques baisers rapides et quelques coups de langue mieux appuyés sur l'espèce de bourgeongéant
qui se dresse vers son visage, le lécher avec dévotion... Elle s'interrompt un instant pour lui dire :
- Que fais-tu de tes mains, grand paresseux ? Et toi, ma chérie, comment veux-tu jouir en restant plantée si loin ? Caresse-moi par-derrière, veux-tu, je mouille
comme une fontaine.
Puis elle reprend son... biberon, et cette fois l'avale avec frénésie. Ainsi dévoré, notre meunier n'en promène pas moins sa grosse main maladroite (mais douce) sur
mes reins, puis sur mes fesses, puis cherche un peu plus bas un passage que je lui refuse d'abord, les jambes serrées.
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Par Stuc Régences
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Jeudi 1 mai
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01
/05
/Mai
15:53
"Inspire", qu'elle me disait, à moi allongé sur
ce bitume, situé à peu près nulle part.
"Inspire donc !", et sa voix prenait plus d'ampleur à mesure que j'inspirais sous ses ordres, le nez dans son entrejambe. Les deux genoux à terre encadrant mes oreilles, elle me recouvrait le
visage.
Il y avait quelques temps que l'odeur du nylon avait disparu, à mesure que perlaient de ses grandes lèvres les infimes gouttes de son excitation. Ma respiration forte envoyait sur ses chairs un
courant d'air épais, son clitoris frottait sur mon nez essoufflé, le nylon m'irritait et c'était délicieux. Je ne pouvais pas voir se balancer ses seins sous le tissu trop fin, juste les deviner,
à l'oreille, aux froissements. Elle se frotta plus vite, plus fort, s'écorchant les genoux en réclamant son reste, avant de s'arrêter, d'un coup, échappant enfin un filet de mouillure, épais et
franc, sur mon front lessivé.
Stuc Régences, octobre 2013
Illustration : Tom of Finland
Par Stuc Régences
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Mardi 29 avril
2
29
/04
/Avr
19:14
Relai, aujourd'hui, d'un extrait de roman troublant.
Le Boucher, d'Alina Reyes, se lit, justement, en une trop rapide bouchée, tant sa prose est fluide et tant son approche de la chose sexuelle se fait à la fois simple et complexe,
en un mouvement.
Ici, voilà ce qui pourrait être une banale description de fellation en sous-bois.
Sauf que.
On invite à jeter un œil un peu plus bas.
Alina Reyes, Le Boucher, Editions du Seuil, Juin 1988, p.76 et 77-
Couverture : Georges, Nu dans un ovale, 1949.
Par stucregences
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Mardi 29 avril
2
29
/04
/Avr
18:46
Photos ©Frédéric Delangle
En 2006, le photographe Frédéric Delangle a eu l'idée superbe de faire poser des couples en plein coït, devant l'objectif de son
appareil, qu'il laisse en "Pose B" pendant toute la durée de l'acte : tant que dure la gaudriole, l'image continue de s'imprimer sur le même carré.
Comme il le dit lui-même, ni le début ni la fin son discernable.
La série complète est sur son site, là : http://www.fredericdelangle.com/spip.php?article10
Par stucregences
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Lundi 28 avril
1
28
/04
/Avr
19:35
Clayton Cubitt a des idées, et de la ressource : à l'été 2012, il commence une série de vidéos mettant en scène des femmes lisant,
le plus consciencieusement possible, alors qu'un accessoire vibrant est en train de frétiller entre leurs cuisses. Le plan est fixe, sur leurs visages.
Une idée subversive du portrait, en quelques minutes troublantes mais incensurables par Youtube.
Par stucregences
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