Mercredi 25 juin 3 25 /06 /Juin 22:21

Elle est là ! Oui ! Quoi ?

Ma nouvelle "La Scribe", publiée par les bons soins de La Musardine, avec la participation de Dorcelle et de Terrafemina !

En p.139, sous vos yeux ébahis, s'étalera l'expérience d'une jeune fille ayant accepté de devenir "la Scribe", la reporter journalistique des ébats d'un couple d'amis ; restera t-elle sagement à sa place ? se demandera t-elle longtemps ce qu'elle fout là ? Qu'attendez-vous pour vous procurer cette merveille ?

Autant de questions dont les réponses commencent à se révèler ci-dessous :

 

osez_scribe_1.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

scribe_text_p139.jpg

Par Stuc Régences - Publié dans : Publications
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 2 mai 5 02 /05 /Mai 17:13

Chris-Le-Dressage-De-Jane-Livre-859955422_ML.jpg Elle n'en croyait pas son fondement. Ce piston, derrière elle, s'activait sans douceur, forait toujours plus loin, écartant l’œilleton entre ses deux joufflues. La sueur, gouttes à gouttes, perlait. Une telle chute de reins... Le membre s'enfonçait, elle respirait trop fort et voyait des étoiles. Elle n'aurait jamais cru que ce serait si bon, de se laisser creuser. Alors, pourtant entravée, elle remuait son bassin pour que la pénétration soit plus profonde encore, et lui, mineur de fond, la tenait aux épaules. Pourvu que ce soit toujours aussi fort. Elle touchait du bois, dans cette cave à l'abri des regards, regardant son pilori neuf comme le plus beau des cadeaux d'anniversaire.

 

Mardi 29 octobre 2013


Illustration : couverture de la BD Le Dressage de Jane par Chris, 1994

 

Mots clés :

Par Stuc Régences - Publié dans : Mes écrits
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 2 mai 5 02 /05 /Mai 17:03
journalinconvenant.jpg Mathilde, les yeux brillants, sa robe légère retroussée autour de la taille, tournait autour de nous en poussant des gloussements de plaisir et en répétant :
- Comme il est beau ! C'est que tu es très douée, Agnès. Regarde comme il bande ! Je ne peux plus y tenir, va t'en un instant, va quitter ton pantalon toi aussi pour que Boniface puisse te branler, je vais m'occuper de lui.
Et me voici toute honte bue, délaaçant presque calmement mon pantalon sous les yeux d'un homme, le faisant glisser le long de mes jambes, relevant moi aussi mes jupes dans ma ceinture pour m'avancer vers eux aussi gravement, j'imagine, que ma trisaïeule la marquise de S. vers Louis XV le Bien-Aimé, un soir de petit souper. J'aimerais que Mathilde me regarde mais elle est occupée ailleurs : je la vois se pencher vers Boniface, donner de-ci, de-là quelques baisers rapides et quelques coups de langue mieux appuyés sur l'espèce de bourgeongéant qui se dresse vers son visage, le lécher avec dévotion... Elle s'interrompt un instant pour lui dire :
- Que fais-tu de tes mains, grand paresseux ? Et toi, ma chérie, comment veux-tu jouir en restant plantée si loin ? Caresse-moi par-derrière, veux-tu, je mouille comme une fontaine.
Puis elle reprend son... biberon, et cette fois l'avale avec frénésie. Ainsi dévoré, notre meunier n'en promène pas moins sa grosse main maladroite (mais douce) sur mes reins, puis sur mes fesses, puis cherche un peu plus bas un passage que je lui refuse d'abord, les jambes serrées.

Mots clés :
Par Stuc Régences - Publié dans : Citations
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 1 mai 4 01 /05 /Mai 15:53

 tomoffinland1.jpg "Inspire", qu'elle me disait, à moi allongé sur ce bitume, situé à peu près nulle part.

"Inspire donc !", et sa voix prenait plus d'ampleur à mesure que j'inspirais sous ses ordres, le nez dans son entrejambe. Les deux genoux à terre encadrant mes oreilles, elle me recouvrait le visage.

Il y avait quelques temps que l'odeur du nylon avait disparu, à mesure que perlaient de ses grandes lèvres les infimes gouttes de son excitation. Ma respiration forte envoyait sur ses chairs un courant d'air épais, son clitoris frottait sur mon nez essoufflé, le nylon m'irritait et c'était délicieux. Je ne pouvais pas voir se balancer ses seins sous le tissu trop fin, juste les deviner, à l'oreille, aux froissements. Elle se frotta plus vite, plus fort, s'écorchant les genoux en réclamant son reste, avant de s'arrêter, d'un coup, échappant enfin un filet de mouillure, épais et franc, sur mon front lessivé.

 

Stuc Régences, octobre 2013

Illustration : Tom of Finland

Par Stuc Régences - Publié dans : Mes écrits
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 29 avril 2 29 /04 /Avr 19:14
boucher3.jpg
Relai, aujourd'hui, d'un extrait de roman troublant.

Le Boucher, d'Alina Reyes, se lit, justement, en une trop rapide bouchée, tant sa prose est fluide et tant son approche de la chose sexuelle se fait à la fois simple et complexe, en un mouvement.

Ici, voilà ce qui pourrait être une banale description de fellation en sous-bois.
 
Sauf que.

On invite à jeter un œil un peu plus bas.
boucher1
boucher2
Alina Reyes, Le Boucher, Editions du Seuil, Juin 1988, p.76 et 77-
Couverture : Georges, Nu dans un ovale, 1949.
Par stucregences - Publié dans : Citations
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 29 avril 2 29 /04 /Avr 18:46

3-coit---copie.jpg

 

Photos ©Frédéric Delangle

 

7-coit----copie.jpg

 

En 2006, le photographe Frédéric Delangle a eu l'idée superbe de faire poser des couples en plein coït, devant l'objectif de son appareil, qu'il laisse en "Pose B" pendant toute la durée de l'acte : tant que dure la gaudriole, l'image continue de s'imprimer sur le même carré.
Comme il le dit lui-même, ni le début ni la fin son discernable.
La série complète est sur son site, là : http://www.fredericdelangle.com/spip.php?article10

Par stucregences - Publié dans : Image/photo
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 28 avril 1 28 /04 /Avr 19:35

 

 

Clayton Cubitt a des idées, et de la ressource : à l'été 2012, il commence une série de vidéos mettant en scène des femmes lisant, le plus consciencieusement possible, alors qu'un accessoire vibrant est en train de frétiller entre leurs cuisses. Le plan est fixe, sur leurs visages.

 

 

 

Une idée subversive du portrait, en quelques minutes troublantes mais incensurables par Youtube.

 


Par stucregences - Publié dans : Vidéo
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Bienvenue

  

Stuc Régences est le fruit des amours impossibles, 
entre un laveur de carreaux, 
et une Petite-vertu derrière sa vitrine.

 

Sauf mention contraire, le contenu de ce blog n'est pas libre de droit. Merci de ne pas utiliser de texte / photo sans autorisation. (Citations et emprunts indiqués de manière explicite.)


Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus